Archives par mot-clé : antagoniste
Dans la mire d’Anders Behring Breivik
J’ai bien fait de ne pas trop commenter à chaud le « gauchocide » d’Anders Behring Breivik. Parce qu’avec les infos que j’ai pu grappiller çà et là, je me suis permis ce discutable statut Twitter : Le gros … Continuer la lecture
L’arsenic rend éternel!
J’ai comme l’impression que j’ai eue un peu une réponse à mon billet récent « Entrons en guerre contre la pollution alimentaire (et les autres) ». Je ne savais pas qu’il était possible pour la droite d’être aussi obtuse. … Continuer la lecture
Les langues : derniers remparts de l’uniformisation culturelle?
Le blogue Antagoniste publie de temps en temps des statistiques concernant le poids média des nouvelles au Québec et dans le ROC ainsi que des « Top 5 Twitter » des mots, noms et « hashtags » (mot-clic?) les … Continuer la lecture
L’art de tout mélanger
Je suis tombé sur un article intéressant dont le titre est : « Les signes d’intelligence sont contre-nature » (via le compte Facebook de la blogueuse Noisette Sociale). C’est à propos d’une étude d’un psychologue évolutionniste de la London School … Continuer la lecture
Inextricable
C’est à n’y rien comprendre… Selon une étude, il semblerait que le Québec serait « un véritable paradis pour les jeunes familles », qui « disposent de plus d’argent pour élever leurs enfants qu’en Ontario, en Alberta, aux États-Unis ou en France. Même … Continuer la lecture
OQP
Depuis quelque temps je suis très occupé. Toutes les démarches autour de l’achat de notre maison se sont concrétisées hier par des signatures chez la notaire. Notre agente, une perle rare (que je vous conseille chaudement si vous prévoyez acheter … Continuer la lecture
Wall-E et la décroissance
J’ai parlé souvent ici de la décroissance. Sans être un disciple strict du mouvement qui se nomme décroissance conviviale, cette idée m’intéresse premièrement car elle nous pousse à repenser notre rapport à l’économie, cette notion historiquement utilitaire qui s’inscrit de plus en plus dans la culture, dans son sens le plus large. Et c’est d’une tristesse : la culture — ce que les rapports humains suscitent comme matière à communication, à réflexion, à contemplation — est prise en sandwich entre la religion, cette culture dont le marketing repose sur la Foi et la peur du Jugement Dernier, et l’éconocentrisme culturellement agressif, dont la mise en marché s’appuie sur le confort matériel, et un message fort qui tourne autour de la peur de le perdre. Continuer la lecture