Il y a une tension dans l’air. Comme s’il était possible de franchir un point de non-retour. La foutue date butoir. C’est un mur qui se défonce et c’est déjà commencé. Le mouvement Lire le billet sur Le Globe…
Sommes-nous mûrs pour une révolution?
Ce contenu a été publié dans Actualités, éducation, opinions, Québec, société, avec comme mot(s)-clé(s) Alexandra Desrochers, Assemblée générale, augmentation, boycott, boycottage, capital, Caricature, carré rouge, cause, citoyens, collusion, construction, contestation historique, contribution, corruption, coûts, cynisme, date-butoir, droits de scolarité, Entreprises, Études, étudiant, étudiante, étudiants, Facebook, financières, Fonds des services de santé et d’éducation postsecondaire, Frais de scolarité, FSSEP, génération, gouvernance, Gouvernement, Gouvernemental, gouvernementale, grève étudiante, hausse, imposition, intimidation, Jean Charest, libération, libéraux, Line Beauchamp, Lutte, Manifestation, Manipulation, méchanceté, ménage, meuglements, mines, minières, mouvement étudiant, multinationale, novlangue, opinion, paliers, politique, Pouvoir, Québec, Raymond Bachand, redevances, réforme, révolution, Révolution tranquille, Richard Martineau, Rio Tinto, Sexisme, Social, taxations, taxe, tenir le coup, tromperie. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.