La liberté de fumer

cigarette2.jpgQui dira que la nouvelle comme quoi « Le Québec compte moins de fumeurs » est une mauvaise nouvelle? Le Québec, qui « a longtemps traîné [de] la patte » par rapport à l’ensemble du Canada, est en train de reprendre le temps perdu dans le dossier du tabagisme selon Statistiques Canada. Généralement, je prête attention aux gens qui arguent que le gouvernement s’immisce trop dans nos vies, mais dans ce cas, je suis pro coercition étatique. Et le fait d’avoir arrêté de fumer voilà plus de deux ans est secondaire, pas exactement comme la fumée…

(Pour continuer votre lecture, ça se passe du côté de Pascal Henrard, que je remplace.)

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Une réponse à La liberté de fumer

  1. Tant mieux pour cet effet positif, mais ça ne change rien au fait que l’État commet un crime quand:

    1) Il empêche les gens de fumer dans un bar POUR ADULTES.

    2) Il réprime criminellement la drogue et tous les autres soi-disant « crimes » sans victime.

    J’aime mieux vivre dans un endroit plus libre, quitte à avoir un peu plus de fumeurs. Quoique j’ai l’impression que l’information est le meilleur outil contre le tabagisme.

    ———Un non-fumeur

  2. Perséphone dit :

    Cool! Première réplique. Mais je serai hors sujet par rapport au billet.
    Juste que je suis « un peu » flabergastée de tout ce qui se passe, les rebondissements, les mots-lames. Je peux juste affirmer que je suis complètement aise et fière de ta transparence, ta sensibilité et de ta répartie. Keep going!

  3. Perséphone,

    donc, tu as fait exprès de ne pas laisser ton commentaire à la bonne place?

    En tout cas, merci pour ton appui!

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