Ce billet est en quelque sorte un remixage d’un billet publié il y a environ un an, tout comme le moment de création de la caricature ci-haut. Parce qu’aujourd’hui c’est la date d’anniversaire de notre traître national, le bien surnommé P.E.T., soit feu Pierre Elliott Trudeau.
J’avais trouvé un texte parfait pour honorer sa mémoire, « dans le sens le plus réaliste du terme », dont j’avais fait ressortir les grandes lignes :
L’héritage de P.E.T :
— Dette publique : la majeure partie de l’endettement du Canada est due à ce grand gestionnaire… Pour « payer des programmes sociaux, des salaires, et plein de dépenses courantes. »
— Les relations Québec-Canada : rapatriement de la Constitution sans l’accord du Québec, entre autres. « Nous sommes toujours dans ce vide constitutionnel ».
— Politique favorisant le multiculturalisme : « Tout ça parce qu’un parano au pouvoir à l’époque a fait adopter cette politique dans le but d’empêcher les « Canadiens français » d’être les seuls à se distinguer de la majorité anglo-saxonne blanche et protestante. »
— Charte des droits et des libertés : « J’ai le droit de me sentir insulté si la société dans son ensemble fête Noël, considère la femme égale de l’homme ou si on m’oblige à apprendre le français ou l’anglais. »
— Aéroport de Mirabel (avec bien sûr les expropriations qui ont été avec) : « L’insulte s’est ajoutée à l’injure quand le gouvernement Chrétien a nommé l’aéroport international de Montréal en l’honneur de ce triste individu ».
— Démantèlement du réseau de chemin de fer « pour favoriser le camionnage ».
— Création de la FIRA (agence de tamisage des investissements): « on reconnaît aujourd’hui que cette Agence a considérablement freiné le développement économique du Canada. Pendant cette période, le nombre de chômeurs canadiens a presque quintuplé, passant de 300 000 à 1,4 million. »
Dire qu’il est un dieu pour certaines personnes…
$$$ Très $$$ cher $$$ Pierre $$$,
Dire qu’avant d’aller dans le trou,
tu nous as bien mis dans le trou.
Gilles Guibord, patriote 1608
Que dire de l’abominable Loi des mesures de guerre, des injures aux grévistes et surtout du fameux mensonge voulant qu’un non était en fait un oui.